La Covid19 et la pollution

L’histoire du serpent qui se mord la queue

Où l’on constate que cette pandémie mondiale ne sert pas vraiment de leçon à l’humanité. En Europe pour ne parler que de chez nous, différentes procédures pour lutter contre cette épidémie ont été mises en place comme le confinement de plusieurs semaines. Ok, pourquoi pas! La pandémie a sévèrement ralenti grâce au confinement. J’ai pu le constater vu mon métier de chauffeur-livreur, il n’y avait presque personne sur les routes et l’activité industriel tournait au ralenti.

Nul besoin d’être un expert pour comprendre que la pollution atmosphérique avait fortement diminué. Elle avait diminué mais seulement par contraintes seulement.

À croire que l’on peut réussir à fortement diminuer la pollution juste avec la peur du gendarme et les règles stricts de confinement. C’est bien ce qui c’est passé pendant un temps.

Mais il y eu le déconfinement…

Le déconfinement et la pollution repart de plus belle

Et oui, le fameux déconfinement est arrivé et son lot de pollution quotidien.

Chacun se dit qu’il va essayer de vivre autrement mais finalement non, il n’ose accepter qu’il recommence un peu comme avant. Il reprend sa voiture comme avant, il en a le droit. Du coup, nos routes se remplissent de véhicules, comme avant, mais comment faire autrement. Chaque individu pris séparément se dit qu’il ne va pas faire autrement qu’avant la pandémie car si lui fait cet effort, ça ne servira à rien puisque les autres ne feront pas le même effort que lui qui est de véritablement vivre autrement avec des gestes barrières et le port du masque. Et puis, il faut bien reprendre le travail, reprendre toutes les activités d’avant, refaire tourner la machine à plein régime, comment faire autrement?

Le serpent qui se mord la queue

Nous nous trouvons bien dans cette situation où le serpent se mord la queue.

On repart à zéro. Pourtant nous pouvons tous être unanime sur le fait que la pollution à fortement diminué lors de ce confinement. Mais hélas, nos gouvernements sont bien incapable d’en tirer des leçons. Ce qui est normal après tout. On ne pouvait imaginer le contraire puisque c’est l’argent qui dirige le monde et nos vies.

En tout cas, maintenant personne ne peut ignorer que lors de grandes échéances électorales il faut donner un grand coup de pied dans la fourmilières et balayer à grands coups de pelle nos démocraties centenaires et repenser nos modes de gouvernances. Il faut tout repenser de A à Z. Voir ce qu’il ne va pas dans le fait d’avoir un président de la République et sa cohorte de ministres, voir ce qu’il ne va plus avec une assemblée nationale et un sénat moribond, sans pour autant mettre en place d’autres vieux systèmes déjà vu dans le monde et qui n’ont jamais fait leurs preuves.

Il faut tout revoir et s’appuyer sur le peuple pour faire émerger une toute nouvelle gouvernance de nos pays démocratiques. Si on veut réduire drastiquement les émissions de co2 sur notre planète c’est la seule chose à faire. On ne peut continuer comme avant et on sait comment faire. La balle est dans le camp des peuples, elle n’est plus dans le camp de nos habituels dirigeants.

Evidement il va falloir trouver la bonne idée en s’appuyant sans doute sur la philosophie pour trouver le moyen de faire vivre la population dignement en se passant du dieu argent et là, c’est pas gagné.

Lien utile sur la chronologie de la pandémie du coronavirus.


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